Amae Lubin

 

 


Neijka Darween : Bonjour, et merci du temps accordé pour cette interview pour découvrir la double vie de Amae Lubin, Journaliste pour La Gazette du Sorcier. Ne perdons pas de temps et rentrons directement dans le vif du sujet ! Nous savons tous que vous avez hâte de découvrir ce qui se cache derrière nos sorciers en herbe colorés.
Pourquoi avoir choisi ce job élève ? Qu'est-ce qui vous plaisait le plus par rapport aux autres postes ?
Amae Lubin : Pour une raison qui paraît assez évidente quand on y réfléchit : j'aime écrire ! Utiliser mon imagination pour faire vivre ce monde magique que nous affectionnons tant (depuis des années et des années pour nombre d'entre nous !).
Outre mon intérêt pour l'écriture, le job de Journaliste a l'avantage d'être moins chronophage que les autres. Avec un rythme d'un à deux articles par mois, j'ai du temps pour ma vie IRL et c'est très important pour moi.

N.D : Pourquoi avoir choisir La Gazette du Sorcier plutôt que le Chicaneur ? Qu'est-ce qui vous motivait le plus ?
A.L : J'ai choisi la Gazette du Sorcier parce que je n'ai pas assez d'imagination et d'humour décalé pour être à ma place au sein du Chicaneur, tout simplement ! Je cherchais à écrire des articles d'informations, de préventions, des petites histoires de tous les jours... le côté « sérieusement loufoque » du Chicaneur est absolument génial mais pas pour moi.

N.D : Comment se passe la rédaction de vos articles ? Faites-vous souvent des articles en binôme ?
A.L : Quand je suis lancée, j'écris mon article d'un coup. Parfois je perds le fil ou bien je revois mon idée de départ et là, il peut m'arriver d'arrêter pour reprendre le lendemain. En général, c'est radical, l'imagination refait surface et je peux reprendre mon rythme de croisière !
Pour les articles en binôme, c'est très rare pour ma part pour la simple raison que je fais passer l'IRL avant WoP et que je n'ai que très rarement le temps de me concerter avec mes collègues pour écrire à deux. Toutefois, dans l'idée, je trouve ça super et mes collègues adorent collaborer ! C'est toujours un succès.

N.D : A quelle fréquence rédigez-vous en ?
A.L : Comme nous sommes au complet en terme d'effectif, j'écris minimum un article par mois IRL. Parfois deux, si besoin ou si événement particulier !

N.D : Combien de temps, en moyenne vous prend la rédaction d'un article ? Et comment gérer votre temps entre la rédaction et votre IRL ?
A.L : Parfois c'est très très rapide : moins d'une heure. Parfois un peu plus parce qu'avec la fatigue je me déconcentre vite et que je perds le fil de mes pensées haha. Mais j'apprécie vraiment de pouvoir anticiper pour trouver le tempo idéal pour rédiger. C'est un vrai plaisir d'écrire lorsque toutes les conditions sont réunies (et c'est très souvent le cas).
En ce qui concerne l'IRL, je l'ai un peu dis au-dessus, c'est primordial pour moi. Donc même si j'adore écrire, c'est important que j'ai la sensation d'avoir eu le temps de faire tout ce que j'avais à faire avant de m'y mettre.

 

 
N.D : Quelle est votre source d’inspiration ? Si vous en avez une, bien sûr ?
A.L : Je m'inspire parfois des infos IRL que je détourne. Souvent ce sont des idées un peu en vrac que je note et organise dans un coin de ma tête. La rubrique « actualités » est super pour ça : tous types de sujets peuvent être abordés. J'ai très peu de limite tant que je respecte les rubriques de mes collègues adorés !

N.D : Avez-vous déjà eu quelques soucis d'inspiration(s) quant à votre prochain article ? Si oui, vos collègues vous aident-ils à trouver un sujet ?
A.L : J'ai déjà eu des soucis d'inspiration oui. L'année dernière j'ai traversé une période IRL compliqué émotionnellement. Mais je peux toujours compter sur mes collègues pour relâcher la pression et en effet, il suffit de demander pour avoir du soutien, des GIF drôles, des idées d'article, de la bonne humeur... C'est une équipe réactive, soudée, généreuse.

N.D : Êtes-vous sur une rubrique en particulier ? Si oui, laquelle ? Ou pouvez-vous changer selon vos inspirations, collaborations… ?
A.L : Pour ma part, je suis sur la rubrique « actualités ». C'est une rubrique très large, presque tout y est envisageable. En réalité, nous avons tous une rubrique mais les lignes peuvent se flouter en cas de besoin, d'envie, de collaborations.

N.D : Si demain vous êtes directement embauché comme Journaliste dans le monde magique, quelle serait votre réaction ? Est-ce le job du monde magique qui vous plaît le plus ?
A.L : Je pense que je serai très contente... à condition de ne pas être dans un bureau toute la journée ! Je ne rêve pas de situations dangereuses, loin de là, mais de rencontres, de discussions, d'échanges, d'analyses. J'aimerais écrire pour lutter contre les stéréotypes, les exclusions. Pour cela, il est nécessaire de contrer la méconnaissance, l'ignorance, la peur.
Toutefois, ce n'est pas le travail qui me plairait le plus. La Magizoologie me passionnerait d'autant plus, tout comme l'enseignement et notamment la maîtrise de la métamorphose.

 

 
Geortanio Kozwazyski : Bonjour, merci de prendre le temps de répondre à ces quelques questions qui permettront d’en savoir un peu plus sur le rapport à l’école de ton personnage.
En quelques mots, quelle est la matière que tu préfères à Poudlard et pourquoi ?
A.L : Sans hésitation : la métamorphose ! Une matière difficile, qui demande de la rigueur, de la concentration, du self-control. C'est un exercice presque méditatif tant il est nécessaire d'être maître de soi-même pour exceller.

G.K : Dans quelle matière tu écoutes le moins? Allez, on en a tous une, ça ne fait pas de toi un cancre !
A.L : L'Arithmancie parce que c'est extrêmement compliqué pour moi de comprendre comment ça fonctionne. Je n'ai pas un esprit très logique et déjà à l'école moldue j'étais fâchée avec les mathématiques...

G.K : Qui est la personne avec qui tu passes le plus de temps en classe? (joueur ou PNJ)
A.L : Ma petite-amie, Leyn Bloodthorn. À Poudlard nous étions déjà inséparables.

G.K : Dans la classe, tu préfères t'asseoir à quel endroit? (à l’avant / arrière; côté droit / gauche)
A.L : Ni trop devant, ni trop derrière. Quelque part au milieu ou sur un côté, peu importe lequel.

G.K : Niveau ponctualité, comment est-ce que tu te situes ?
A.L : De mémoire, le plus souvent en avance et une ou deux fois « sur le fil du rasoir » mais sans être en retard (je n'aurai pas réussi à gérer le stress du retard sans tomber dans les pommes et/ou m'enterrer avec les mandragores dans une serre !)

 

 
G.K : Si je te dis assiduité, tu me réponds… (“toujours”, “il m’arrive de rater quelques cours”...)
A.L : TOUJOURS ! Réussir à Poudlard était nécessaire à mes yeux. Je ne m'autorisais pas d'échouer alors pas le temps pour sécher les cours !

G.K : Les examens de fin d’année, pour toi ça se passe (ou ça se passait) comment ?
A.L : Avec beaucoup de thé et de chocolat pour survivre à la fatigue, au stress et aux révisions soutenues.

G.K : Quelles matières optionnelles est-ce que tu suis ? (1 ou 2 matières optionnelles)
A.L : J'ai testé l'Arithmancie et l'Étude des Runes Anciennes. Mais finalement, si j'ai adoré les Runes Anciennes, je me suis dirigée rapidement vers les Légendes et Contes Magiques.

G.K : La question ship des matières, si tu pouvais combiner deux matières enseignées à Poudlard quelles seraient-elles et quel serait le nom de cette nouvelle matière? (ex: potions + métamorphose; potamorphose)
A.L : Pourquoi pas de la Divimancie (Divination et Arithmancie) mais aussi de la Botarune (Botanique et Runes Anciennes) et de la Musition (Musique et Potion) !

G.K : Un petit mot pour ton ou ta professeur préféré(e)?
A.L : J'en ai connu beaucoup... de tous, j'ai adoré monsieur McMillian, monsieur Quenvain et monsieur Ward (mon tout premier coup de cœur professoral !) mais je ne peux pas en choisir un seul. Tous m'ont appris et apporté des connaissances, des valeurs, des savoir-faire. Je les remercie tous pour leur implication !

 

 
N.D et G.K : Un petit mot pour la fin ?
A.L : Merci pour cette interview plus que complète ! Vous faîtes un travail formidable :3

 
Geortanio & Neijka et L'équipe des prunes des Réseaux Sociaux.