Sorcière galloise née en 1968, Gwenog Jones étudia pendant sept ans à Poudlard. Là-bas, elle fit forte impression auprès d’Horace Slughorn, qui la convia à rejoindre son Club. Elle fut par ailleurs parmi les derniers élèves à l’intégrer, Slughorn prenant peu après sa retraite. Durant ses années scolaires, elle se démarqua d’autres joueurs de Quidditch en remportant notamment un trophée à son nom.
Sa passion pour ce sport ne la quitta pas lorsqu’elle obtint ses A.S.P.I.C. Peu de temps après, en tant que batteuse, elle rejoignit l’une des treize équipes de la Ligue britannique et irlandaise de Quidditch : les Harpies de Holyhead, connues pour leur absence de tout joueur masculin. Elle en devint plus tard la capitaine, puis continua sa carrière professionnelle en tant que manager de l’équipe nationale de Quidditch du Pays de Galles.

Ceux qui connaissaient Gwenog Jones affirmaient qu’il était préférable de ne pas s’opposer à ses avis, prétendant que ceux qui n’étaient pas d’accord avec elle avaient la fâcheuse tendance de se changer en cloportes. Un célèbre épisode de la carrière de Jones en tant que manager eut lieu en 2014. Avant même que la Coupe du Monde de Quidditch débute cette année-ci, des rivalités existaient entre son homologue brésilien (José Barboza) et elle. Le sorcier aurait qualifié ses poursuiveuses de « harpies sans talent », à la suite de quoi Gwenog Jones le menaça de lui « ensorceler la tronche ».
Lors du quart de finale de la Coupe du Monde de Quidditch de 2014, son équipe du Pays de Galles dut justement jouer contre le Brésil. La rivalité toujours présente atteignit un point culminant lorsque Jones tenta d’entrer sur le terrain en portant un t-shirt indiquant que « Cela aurait dû être Haïti ». Elle fut contrainte de se changer et manqua le début du match, qui se solda par une défaite de l’équipe galloise. La nouvelle fut loin d’être agréablement reçue par la manager, qui ensorcela effectivement le visage de Barboza et dut être sortie de force du stade par les batteuses de sa propre équipe.